61 – Kamal, Étudiant, Dépucelé Au Douar, Par Si Ali (1):

61 – Kamal, étudiant, dépucelé au douar, par Si Ali (1):
Je suis kamal, âgé de 22 ans et étudiant en fac de lettres depuis trois mois. J’ai longuement hésité avant de vous raconter ma toute nouvelle vie depuis ces trois mois avant lesquelles j’étais puceau sexuellement et même complètement bloqué. Je viens d’un petit village traditionnel où j’ai fais mes études primaires puis à la 6em, mon père m’a mis dans un institut religieux situé dans une sorte de monastère un peu plus haut dans la montagne. On vivait comme des militaires et, en plus des matières normales, on nous enseignait la rigueur et les interdits sexuels et érotiques comme des péchés mortels. On nous mettait même des produits dans la nourriture pour affaiblir et même nos désirs et chaleurs sexuels. Donc, quant on a passé le bac, on s’est dispersé et moi j’ai été inscrit dans la grande ville voisine, en Lettres. Mes camarades étudiants semblaient plus détendus, plus libres sur tout sujet et surtout sur les problèmes sexuels contrairement à moi qui fuyait chaque fois que l’on évoquait ces sujets. Mes camarades commençaient même à avoir des copines da la cité filles voisine et certains les amenaient dans leurs chambres, ce qui était un blasphème pour moi. Ainsi, j’ai vécu le premier trimestre en solitaire, en paria et on se fuyait mutuellement. Mais la nature étant ce qu’elle est et comme je ne consommais plus de bromure, mon sexe se gonflait et bandait tout seule souvent et il m’est arrivé plusieurs fois de constater, le matin, du sperme séché sur mon slip et cela m’obligeait à me doucher chaque matin et à laver mon vêtement. Alors j’ai réfléchi et décidé d’une solution, certes osée pour moi, mais pratique. En effet, si en début de soirée je sentais mon sexe qui s’échauffait, alors je me masturbais et éjaculais dans les toilettes, puis je me nettoyais, évitant ainsi la douche froide du matin et les salissures à mes slips.
Cela dura ainsi durant le premier trimestre et je me suis pratiqué au moins tous les trois à quatre jours.

Et quant on a eu les vacances d’hivers, je suis retourné au village pour quinze jours. Tout allait bien dans un premier temps, mais dès que l’envie de mon sexe s’est déclarée, je me suis caché dans la cabine d’un WC commun, isolé des maisons, pour me soulager, mais je savais qu’il y avait des fissures dans le mur et même des trous. Tout en me branlant, j’ai vu des yeux qui m’observaient par l’un des trous et je me suis bloqué, puis je suis sorti en urgence. Dehors, c’était un de nos voisins, le vieil Ali, cultivateur, veuf de cinquante ans environ, et vivant seul depuis le mariage et le départ de sa fille cadette, et qui m’avait observé. J’ai essayé d’être fâché car c’était péché et interdit, mais il m’a répondu :
« anta thani rak direte 7aja 7aram ! » ( toi aussi, tu faisais une chose péché).
Et comme il rigolait, cela m’a calmé. Puis il a ajouté en rigolant bruyamment :
«oud’khoul kamal zahouatak ! » (entres et termine ton plaisir)
Je voyais qu’il parlait sérieusement, alors j’ai repris ma place dans le WC et recommençais à me masturber à l’aise. Et quant le plaisir arriva, la force de l’éjaculation m’a fait me mettre debout, tenant fermement mon sexe. Mais, en même temps, mon pantalon glissa sur mes jambes et m’a dénudé tout le derrière et les cuisses. Tout en pressant toujours mon sexe pour puiser le maximum de sperme, j’ai jeté un coup d’œil au trou et j’ai vu l’œil de Si Ali qui m’observait encore. Puis, je me suis rhabillé et sorti du WC. Si Ali qui me regardait en souriant m’a dit :
« anta chabab wa lakine 3a’ndak zeb k’bir ! » (tu es jeune mais tu as un grand zob)
Cela m’a choqué un peu et flatté mais je l’ai regardé comme pour le sermonner, lui un homme de cinquante ans qui parle ainsi dans notre milieu traditionnel. Mais j’ai vu qu’il continuait à ricaner d’un air vicieux et il m’a même fait un clin d’œil cochon, puis il a ajouté :
« lakine, zebek ma yal7ag’chi zebi ! t’7ab n’warih lak ? » (mais ton zob n’atteint pas le mien ! tu veux que je te le montres ?
Moi, j’ai hésité dans ma protestation car j’ai senti comme un frisson dans tout mon corps.
Ses paroles crues m’ont étonnées mais aussi réveillé en moi presque la même sensation de désir que lorsque j’ai envie de me masturber. J’avais la sensation que mon sexe s’agitait et cela n’était pas du tout désagréable, au contraire. Alors, j’ai répondu :
« wari n’choufou ! n’ta toukhrout » (montres pour voir ! sur que tu mens)
Alors il sortit son zob de la braguette. Oh ! En effet, il était énorme, gros, long et épais. C’est le premier zob d’homme que je voyais, mais sûr, il était bien développé ! Il bandait à fond, certainement depuis qu’il avait vu le mien dans le WC. Je n’ai pas pu retenir mon admiration :
« yahh ! ch’7al zébek kbir ! wa ghlith ! wa m’ta’nane ! » (ahh ! comme ton zob est grand ! et épais ! et debout bien gonflé ! )
Alors, j’ai sorti le mien du pantalon pour comparer. Bien sur, le mien était nettement plus petit et en plus, il était couché, épuisé par l’éjaculation de tout à l’heure. Si Ali a ricané en ajoutant :
« zébi m’ta’n’nane ki chaf teremtek ! terma 3aridha wa baydha ! safia bla sghab ! ki n’ta7 e’toufla ezwayna ! zébi cha’hi yat’hakak 3liha ! sahbi, khalini n’houk zébi 3ala teremtek ! bi chwaya bark ma t’khafach ! idha 3ajabtak gouli n’zidou ! wala na7bass !» ( mon zob s’est gonflé quant il a vu ta terma ! une terma large et blanche ! nette et sans poil ! comme celle d’une belle fille ! mon zob désire se frotter à elle ! mon ami, laisses moi frotter mon zob sur ta terma ! un petit peu seulement ne craint rien ! si ça te plaira, dis moi de continuer ! sinon j’arrête !
Bien sur, j’étais contre, d’abord c’était péché et interdit et j’avais peur. Mais ses paroles d’une part et son gros zob qu’il agitait d’autre part me tentaient et m’excitaient et mon propre zob s’était bandé tout seul. Mon zob avait envie que je me masturbe de nouveau. Mais si je laissais Si Ali frotter le sien contre ma terma, peut-être que ce sera encore plus agréable. Mais je ne le laisserais pas entrer dans mon cul, pas question, je ne suis pas un « 3atay » (gay).
Comme j’hésitais et réfléchissait, Si Ali, en connaisseur, ajouta :
« jarab ! wa t’chouf ch7al h’louwa ! zeb 3ala terma rah 3assal fil foum ! jarab ! » (essaies ! et tu verras combien c’est agréable ! le zob sur la terma c’est comme du miel dans la bouche ! esaies !)
Et il précipita les choses. Sa main droite tenait son gros zob bandé et l’agitait et soudain, il lança sa main gauche contre mon derrière et la colla sur ma terma. En plus, et avec insistance, il me caressa ou plutôt il malaxa ma terma et frotta ses doigts dans le sillon de mes fesses. Soudain, sans même le vouloir, mon zob se gonfla encore plus et moi aussi je tendais mon derrière vers ces caresses pour permettre aux doigts de s’incruster entre mes fesses. Oui, j’ai fait tout cela alors que c’était la première fois de ma vie que quelqu’un me touche les fesses. Et celui là, ce vieil homme le faisait avec une intention claire de me niquer, de faire entrer son zob dans ma terma vierge. En pensant à cela j’ai eu encore des frissons dans tout le corps et je serrais la main qui était entre mes fesses. Si Ali saisit tout de suite le message et me poussa à l’interieur de la cabine WC et referma la porte. Puis, il me dit :
« haya ! barka ma takdhab 3ala teremtek ! raha dawar 3ala ezeb bach e’nikha ! haya ! » viens ! arrête de mentir à ta terma ! elle cherche le zob pour la niquer !allez viens !)
Je lui ai dit :
« lakine makanchi wa7ad mass teremti fi 7ayati ! anta l’wa7id al youm ! ana ma na3rafchi hadha la7wayaj ! » ( mais il nya pas personne qui a touché ma terma dans ma vie ! vous êtes le seul ce jour ! moi, je ne connais pas ces choses là !)
Il me regarda avec etonnement et me dit :
« ithane teremtek j’dida ! mazal ma ta3rafach e’nayk ! ma t’khafach ! ana n’ralmak bi e’souhoula ! » ( donc ta terma est vierge ! elle ne connait pas encore la niquée ! ne craint rien ! moi, je vais t’apprendre facilement)
Et il ajouta en me poussant contre le mur :
« haya ! habate saroualak ! soud lal 7eyt ! » ( allez ! descends ton pantalon ! et tournes toi vers le mur !)
J’ai obéis presque automatiquement à ses paroles.
Il avait descendu lui aussi son pantalon et je voyais ainsi, non seulement son gros zob mais aussi ses larges cuisses poilues. C’était autant excitant que son zob. Puis il se colla à mon dos et me poussa à me pencher et ouvrir les cuisses. Immédiatement, j’ai ressenti son zob qui se collait se collait à mes fesses. Avec sa main, il le frotta un moment contre mes fesses et l’essaya dans le sillon. Puis, je l’ai entendu qu’il se salivait les mains et le zob, puis il me lubrifia aussi les fesses et leur sillon, abondamment. Maintenant son zob glissait plus facilement sur ma peau. Il m’écarta un peu les fesses et son zob s’incrusta dans le sillon et toucha plusieurs fois mon anus. Je ressentais la grosseur et l’épaisseur du zob entre mes fesses et même sa longueur quant il s’y glissait doucement. C’était la première fois de ma vie et c’était déjà très excitant et agréable. A cause de cela, je sentais que mon anus frétillait, il semblait s’ouvrir un peu et se fermer aussitôt rapidement comme s’il cherchait à happer le zob mais trop vite. Et puis je savais qu’il était trop serré pour ce zob. Il frétillait alternativement au rythme des passages du zob à son niveau. Je savais que Si Ali provoquait mon anus avec son zob pour l’ouvrir et qu’il voulait me niquer, donc faire pénétrer son zob dans mon cul. Cette idée que je refusais tout à l’heure et que je répétais maintenant plusieurs fois et faisait vibrer mon corps, ne trouvait plus d’obstacle dans ma tête. Au contraire, plus il me frottait l’anus et plus j’avais une folle envie qu’il l’ouvre rapidement et me pénétrer. Je savais que j’étais déjà loin dans le péché mais ça me grisait la tête et mouiller de la terma. Il a du deviner mes sensations et mes pensés car il me dit :
« wach raya k ? 3ajbak hak zébi 3ala teremtek ? rak t’hass fi qarak yat’7al wa7dou ? rah chahi e’zeb yad’khoul fih ! t’hab e’nikou ? » ( qu’en penses tu ? tu aimes les frottis de mon zob sur ta terma ? tu sens ton cul qui s’ouvres tout seul ? il désire le zob pour le pénétrer ! tu veux qu’on nique ?) .
Et moi, totalement conquis et sans volonté, je lui ai répondu dans un murmure de vaincu heureux attendant ces plaisirs inédit sexuels que je n’ai jamais connu dans ma vie :
« hatou ! dakhlou bessah bi chwaya ! ma tawja3nich ! » (donnes le ! fais le entrer mais doucement ! ne me fait pas mal)
Et lui, avec un gros ricanement bruyant de mâle victorieux que la femelle appelle avec plaisir :
« ma t’khafach ! rani e’malaf n’hil e’terma ! ki zébi yad’khoul fi qarak ! tatlabni zid zid !ousbour ! bi chawaya n’halak teremtek ! » ( ne crains rien ! j’ai l’habitude d’ouvrir terma ! quant mon zob pénétrera ton cul ! tu diras encore et encore ! patientes ! doucement je vais t’ouvrir ta terma !)
Puis, il me lubrifia avec abondance l’anus avec sa salive et entra, avec quelque effort, un doigt dans mon cul. Puis, il fit des vas et viens dans mon cul avec ce doigt, tout en essayant d’élargir l’ouverture ou d’assouplir la rondelle. Ensuite, il le retira et le lubrifia encore et recommença ses gestes plusieurs fois. Et à un moment, il réussit à faire entrer deux doigts. Certes j’avais un peu mal mais c’était surtout une sorte de gêne car je n’avais pas l’habitude de ces manipulations dans ma terma. Il me branla le cul avec ses deux doigts en les écartant parfois avec effort, ce qui élargissait la rondelle de mon anus et augmentait sa souplesse, mais cela me faisait plus mal, un mal facilement acceptable. Si Ali tout en contnuant à m’assouplir l’anus me fit la confidence :
« Ya sahbi ! la7mat teremtek ch’bab ! la7mat qarak astic ! fissa3 tacharak ! ousbour chwaya ! n’zid sbou3 thalath ! « (mon ami ! la chair de ta terma est jeune et belle ! la chair de ton anus est aussi élastique ! elle s’est élargit facilement !patientes un peu ! j’ajoute un troisième doigt !)
Et il joignit le geste à la parole et ajouta :
« mane ba3ad nagdar n’dakhal zébi bi s’houla ! ousbour ! » ( et après je pourrais faire entrer mon zob avec facilité ! patientes !)
Effectivement, il me manipula avec deux doigts puis trois et me masturba la terma avec. C’était encore plus douloureux mais ça commençait aussi à me donner certains frissons dans le corps. Je m’imaginais maintenant, avec ces trois doigts comme son zob, qui était quant même plus gros, et qui allait pouvoir m’ouvrir, me dépuceler le cul. Et cette pensée, péché et interdite il y a quelques heures, me fit frissonner encore plus. Alors, avec mes muscles du cul, j’essayais d’aider à ouvrir mon anus par des pressions, des sussions sur ses doigts. Bien sur, Si Ali remarqua mes efforts et comprit que je rentrais dans le jeu sexuel et il ricana de nouveau:
« ahh ! raha jatak echahwa ! b’da qarak yab3ath’lak signal ! edawar thorka 3ala e’zeb ! edawar 3ala e’nayk ! » (ahh ! tu sens leplaisir sexuel ! ton cul commence à t’envoyer son signal ! il désire maintenant un zob ! il désire une niquée !)
Et professeur, il ajouta :
« ahhh ! ga3 latrame qahab ! ki e7issou bi zeb, i7ilou qarhoum ! aya ya terma al baydha wa jdida ! hili qarak ! hili ! » ( ahhh ! toutes les terma sont des putains ! dès qu’elles sentent le zob, elles ouvrent leur cul ! allez viens ô blanche et vierge terma ! ouvres ton cul ! ouvres !)
Et comme répondant à ses ordres, je sentais mon anus qui s’ouvrait avec facilité et le glissement des doigts est devenu très chatouilleux et agréable et ma terma commençait à me démanger. Ce sorcier de Si Ali est formidable, en très peu de temps, il a réussi à me manipuler le derrière, à me montrer son zob, à me caresser et malaxer les fesses à me dénuder et manipuler ses doigts dans ma terma et prêt à me pénétrer avec son gros zob ! Et maintenant, moi je désirer qu’il me nique en urgence ! étonnant mais vrai !
« ya Si Ali, wach rak tassana ! douk zebek ! dhorka ! rani wajad ! rani 7ass bili teremti ma7loula ! achtar ! » (ya Si Ali ! qu’attends tu ! enfonces ton zob ! maintenant ! je suis prêt ! je sens ma terma toute ouverte ! dépêches toi !)

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